Génèse : quelles sont les conditions qui ont abouties à la création du syndicat?
Histoire : presque 30 ans d’une évolution qui aboutit à une “professionnalisation” et un élargissement de son champ d’activité
Domaine d’intervention : Une structure particulièrement active dans le domaine de la prévention.
Histoire : presque 30 ans d’une évolution qui aboutit à une “professionnalisation” et un élargissement de son champ d’activité
Domaine d’intervention : Une structure particulièrement active dans le domaine de la prévention.
1. génèse.
Il faut remonter à l’époque où le Service des Mines du Ministère de l’Industrie était chargé de la surveillance des mines et des carrières en activité. C’est qu’en France quelques 5 000 communes se trouvent menacées d’effondrement : un casse-tête pour les maires, des angoisses pour des habitants qui risquent que le ciel leur tombe sur la tête. Outre les accidents (tgv nord qui déraille suite à l’effondrement dune galerie, la tragédie d’Issy les Moulineaux en 1964…), il y a les réseaux de galeries, vestiges d’anciennes carrières, en particulier à Paris…
L’inventaire précis des communes concernées reste à faire. Sur notre territoire, quelques communes ont commencé à entreprendre ce travail mais il reste beaucoup à faire.
En Indre-et-Loire, dans les années 80, la prise de conscience s’impose aux élus locaux, aux représentants de la Préfecture et de la Direction Interdépartementale de l’Industrie, de l’incompétence du département face à un territoire qui “peut s'estimer bien servi, avec au bas mot 14 000 "caves" répertoriées, représentant une superficie de 4 000 hectares de vide.” (Guy Benamou, l’Express 24.202.2000).
La réflexion s’oriente vers un regroupement de communes et la création dun service de surveillance (préconisé par le service des mines depuis 1975).
L’inventaire précis des communes concernées reste à faire. Sur notre territoire, quelques communes ont commencé à entreprendre ce travail mais il reste beaucoup à faire.
En Indre-et-Loire, dans les années 80, la prise de conscience s’impose aux élus locaux, aux représentants de la Préfecture et de la Direction Interdépartementale de l’Industrie, de l’incompétence du département face à un territoire qui “peut s'estimer bien servi, avec au bas mot 14 000 "caves" répertoriées, représentant une superficie de 4 000 hectares de vide.” (Guy Benamou, l’Express 24.202.2000).
La réflexion s’oriente vers un regroupement de communes et la création dun service de surveillance (préconisé par le service des mines depuis 1975).
1985
Le 29 janvier un sinistre a lieu à Marmoutier. L’accident qui n’a heureusement pas fait de victimes hâte sans doute les décisions. Le 30 décembre, le Syndicat Intercommunal pour la surveillance des cavités souterraines et des masses rocheuses instables d’Indre–et-Loire voit le jour sur l’initiative des maires de 14 communes, dont Michel Debré (maire d’Amboise) et Jean Royer (maire de Tours) pour ne citer que les plus connus.
La structure spécialisée dans la surveillance des cavités souterraines est créée et acquiert rapidement une certaine notoriété. Aujourd’hui 104 communes sont adhérentes et le syndicat commence à exporter son savoir- faire sur notre département.
A suivre.
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